Ce mercredi, le maire démissionnaire de Saint-Brévin, Yannick Morez, s’est exprimé devant la commission des Lois du Sénat, où il a dénoncé l’absence de soutien de l’Etat et accusé le préfet de Loire-Atlantique d’avoir menti. Ce dernier avait affirmé l’avoir eu plusieurs fois au téléphone et avoir organisé des réunions publiques pour le soutenir alors qu’il était harcelé par des militants d’extrême droite. Des informations démenties par Yannick Morez. En mars dernier, le domicile du maire avait été la cible d’un incendie criminel, après l’annonce de l’installation sur sa commune d’un Centre d’Accueil pour Demandeurs d’Asile (CADA). Il avait par la suite décidé de remettre sa démission et quitter la ville.
Source : Public Sénat